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Assistante polyvalente
Veronique B.
31400 Toulouse
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Interview de Veronique B.
Définissez vous en quelques mots... Je suis une jeune femme qui aspire àdécouvrir de nouveaux secteurs professionnels, àaccomplir de nouvelles missions, et surtout àne pas s'ennuyer!Pour vous, qu'est ce qu'un(e) bon(ne) assistant(e) ? Une bonne assistante est, àmon sens, une véritable partenaire de travail pour son supérieur hiérarchique, fiable, efficace et impliquée à200%.
Pour vous, qu'est ce qu'un bon patron ? Selon moi un bon patron est capable de déléguer et d'accorder sa confiance.
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Quel est selon vous le cadre de travail idéal ?
Mon cadre de travail idéal est une petite équipe àl'ambiance familiale, dans l'idéal une PME dont chaque membre est un pilier.
Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Une mauvaise assistante ne prend aucune initiative et attend passivement qu'on lui confie de nouvelles tâches. Une mauvaise assistante est tout simplement une personne qui ne fait pas gagner de temps àson supérieur.
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? Je ne pourrais pas travailler avec un patron qui ne sache pas déléguer ni accorder sa confiance, ni reconnaître les efforts, l'implication et la qualité du travail fourni.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ? Ma seule expérience professionnelle a eu lieu au sein d'une PME innovante àdimension internationale. Dans cette équipe de 10 personnes àl'époque (1 dirigeant, 1 commercial, 7 ingénieurs R&D), j'ai rapidement pu investir les multiples et diverses facettes de mon rôle et devenir, selon les termes du Président, son "bras droit, la personne sans laquelle l'entreprise s'effondre". C'était évidemment exagéré mais cela traduit bien l'importance que j'avais prise dans l'équipe et notamment pour mon employeur. Je me sentais vraiment bien dans la peau de l' "assistante - couteau suisse" !
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Je pense que la fonction de ces nouveaux outils est de dégager du temps, utilisable àde meilleures fins, et ce quel qu'en soit l'utilisateur. Le patron aura toujours besoin d'une assistante. Simplement le patron gèrera lui-même son agenda grâce àson Blackberry, et confiera des tâches bien plus valorisantes et intéressante àson assistante, qui utilisera elle aussi ces mêmes outils pour gagner du temps sur les tâches simples et ainsi se consacrer àla réflexion.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Absolument pas! La mixité de la profession permet l'échange de différents points de vue et la découverte de nouvelles méthodes, selon la logique masculine.
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ? Elle aura certainement pris du galon! Experte en nouvelles technologies de l'information et de la communication, son cerveau directement connecté aux bases de données de l'entreprise et en contact télépathique (filtré, bien sûr ;) ) avec son patron, elle assurera la bonne marche de l'entreprise au quotidien et prendra des initiatives qu'elle pourra appliquer dans la seconde avec l'aval instantané de son supérieur. Le patron aura un rôle purement décisionnaire au niveau stratégique ; l'assistante en prendra en charge l'application!
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? Le télétravail est un progrès puisqu'il permet de continuer àtravailler sans être présent àl'entreprise. Les technologies de téléconférence assurent un minimum de communication non verbale. Cependant le contact humain, sous forme de rencontres ponctuelles, reste àmon sens indispensable.
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? Au sein d'un grand groupe, oui ; au sein d'une PME, certainement pas! J'ajoute même que si la bonne marche de l'entreprise exige de rester plus tard ou de prendre sur son temps et ses moyens personnels le week-end, alors l'assistante doit savoir se rendre disponible.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ? Difficilement! Deux ou trois me paraissent un minimum (je sais que je pèche sur ce point).
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? Une secrétaire est une simple exécutante. L'assistante fournit un travail de réflexion, d'analyse et de synthèse.
Réduire son Interview Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Une mauvaise assistante ne prend aucune initiative et attend passivement qu'on lui confie de nouvelles tâches. Une mauvaise assistante est tout simplement une personne qui ne fait pas gagner de temps àson supérieur.
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? Je ne pourrais pas travailler avec un patron qui ne sache pas déléguer ni accorder sa confiance, ni reconnaître les efforts, l'implication et la qualité du travail fourni.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ? Ma seule expérience professionnelle a eu lieu au sein d'une PME innovante àdimension internationale. Dans cette équipe de 10 personnes àl'époque (1 dirigeant, 1 commercial, 7 ingénieurs R&D), j'ai rapidement pu investir les multiples et diverses facettes de mon rôle et devenir, selon les termes du Président, son "bras droit, la personne sans laquelle l'entreprise s'effondre". C'était évidemment exagéré mais cela traduit bien l'importance que j'avais prise dans l'équipe et notamment pour mon employeur. Je me sentais vraiment bien dans la peau de l' "assistante - couteau suisse" !
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Je pense que la fonction de ces nouveaux outils est de dégager du temps, utilisable àde meilleures fins, et ce quel qu'en soit l'utilisateur. Le patron aura toujours besoin d'une assistante. Simplement le patron gèrera lui-même son agenda grâce àson Blackberry, et confiera des tâches bien plus valorisantes et intéressante àson assistante, qui utilisera elle aussi ces mêmes outils pour gagner du temps sur les tâches simples et ainsi se consacrer àla réflexion.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Absolument pas! La mixité de la profession permet l'échange de différents points de vue et la découverte de nouvelles méthodes, selon la logique masculine.
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ? Elle aura certainement pris du galon! Experte en nouvelles technologies de l'information et de la communication, son cerveau directement connecté aux bases de données de l'entreprise et en contact télépathique (filtré, bien sûr ;) ) avec son patron, elle assurera la bonne marche de l'entreprise au quotidien et prendra des initiatives qu'elle pourra appliquer dans la seconde avec l'aval instantané de son supérieur. Le patron aura un rôle purement décisionnaire au niveau stratégique ; l'assistante en prendra en charge l'application!
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? Le télétravail est un progrès puisqu'il permet de continuer àtravailler sans être présent àl'entreprise. Les technologies de téléconférence assurent un minimum de communication non verbale. Cependant le contact humain, sous forme de rencontres ponctuelles, reste àmon sens indispensable.
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? Au sein d'un grand groupe, oui ; au sein d'une PME, certainement pas! J'ajoute même que si la bonne marche de l'entreprise exige de rester plus tard ou de prendre sur son temps et ses moyens personnels le week-end, alors l'assistante doit savoir se rendre disponible.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ? Difficilement! Deux ou trois me paraissent un minimum (je sais que je pèche sur ce point).
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? Une secrétaire est une simple exécutante. L'assistante fournit un travail de réflexion, d'analyse et de synthèse.
