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Assistant de direction
Olivier B.
94250 Gentilly
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Interview de Olivier B.
Définissez vous en quelques mots... Je suis une personne empathique, à l’écoute de l’autre et qui aime s’investir dans son travail. Le sourire est de mise et mettre les gens à l’aise grâce à la transparence me semble primordial. Je considère que c’est une fierté et non pas une faiblesse de savoir reconnaitre ses torts, ses limites et les partager afin de s’améliorer pour le bien d’une équipe.Pour vous, qu'est ce qu'un(e) bon(ne) assistant(e) ? Un assistant doit savoir se rendre disponible, exécuter ses tâches avec rigueur et organisation, tout en ayant le sens des priorités. Un discours, une présentation irréprochables, le sens de la confidentialité et de la discrétion, sont des notions prépondérantes. Il apprendre à appréhender les équipes et les personnes que l’on assiste afin de savoir anticiper leurs besoins. La curiosité n’est pas toujours un vilain défaut !
Pour vous, qu'est ce qu'un bon patron ? Un bon patron doit savoir faire confiance à son assistant et également parfois prendre le temps de lui détailler ses besoins et ses exigences. Faire remonter les axes d’amélioration sur l’instant mais aussi savoir reconnaitre les points positifs de son salarié ?
Voir la suite de son Interview
Quel est selon vous le cadre de travail idéal ?
Le cadre idéal, c’est celui où le respect et la confiance règnent, mais les deux se gagnent à force de travail, de remise en question et de volonté de faire le bien dans son entreprise.
Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Un mauvais assistant est quelqu’un qui va attendre que les choses lui tombent dessus, qui n’acceptera pas de sortir du cadre de ses tâches et qui ne cherchera pas à comprendre l’utilité de celles-ci. Cela peut mettre du temps à venir, ce que j’appellerais au final la volonté de maturité.
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? J’aurais du mal à travailler avec un patron qui ferait preuve d’injustice et qui ne saurait pas reconnaitre le positif de ses employés. C’est dur de garder une motivation constante dans ce genre de situations. Le bien-être psychologique des employés est au final une condition importante au bon développement et surtout maintien de leur qualité de service.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative à l'une des questions posées précédemment ? Lors de mon emploi à l’Ordre des Avocats de Paris, le Directeur a reconnu mes qualités et a mis un point d’honneur à me les dire mais aussi me prévenir de mes erreurs afin d’améliorer ma prestation. Cela m’a poussé à m’investir et me remettre en question, à ne pas jamais me braquer et à mûrir quant à mon rôle à jouer.
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent à tout un chacun supprimera-t-elle à terme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Les nouvelles technologies aident l’assistant dans ses tâches, elles accélèrent celles-ci et permettent de consacrer du temps à d’autres.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Je suis un homme. et je n'ai pas de complexe effectivement à effectuer ce métier et encore moins à travailler pour une femme, la parité doit enfin être totale !
(Si vous êtes un homme) Les femmes voient elles d'un bon oeil le fait que vous occupiez cette fonction ? Cela a pu surprendre les femmes durant ma formation. Mais comme je le disais avant, pourquoi confier ces tâches à un sexe plutôt qu’un autre ? Nous devons évoluer et je pense que les femmes veulent elles-mêmes briser stéréotypes et carcans professionnels.
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ? Qui vivra verra.
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? C'est un progrès en termes de qualité de vie pour les salariés, mais à chaque entreprise son profil et ses besoins.
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? Le 35h peuvent l’être, mais tout dépend des périodes et des besoins, si le besoin se fait sentir de rester plus longtemps parfois, alors ce n’est pas grave, le résultat prime avant la durée. Chaque entreprise ou dirigeant a ses besoins, attentes et s’adapter aux circonstances dépasse ce genre de questionnements.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre à un parcours d'excellence ? Je pense que c’est possible, tout dépend du rayonnement de l’entreprise et de son champ d’activité. Néanmoins, je pense que les langues sont une richesse et dans mon cas un plaisir que je cherche à mettre à profit au quotidien. Nous sommes membres de l’Union européenne, apprendre les langues, c’est aller vers l’autre et en faire partie.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? On m’a souvent dit que c’était un synonyme. Je pense qu’un assistant va plus chercher à seconder, épauler et réfléchir à délester son patron alors que la secrétaire va simplement plus exécuter.
Pourriez vous nous proposer 5 questions pour l'interview du mois prochain et avez vous des suggestions à nous faire pour le progrès du site Assistante Experte ? Avez-vous d’autres activités vous semblant requérir des qualités propres à l’assistanat ? Le métier d’assistant a t-il un împact sur votre vie personnelle ? En voici deux.
Réduire son Interview Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Un mauvais assistant est quelqu’un qui va attendre que les choses lui tombent dessus, qui n’acceptera pas de sortir du cadre de ses tâches et qui ne cherchera pas à comprendre l’utilité de celles-ci. Cela peut mettre du temps à venir, ce que j’appellerais au final la volonté de maturité.
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? J’aurais du mal à travailler avec un patron qui ferait preuve d’injustice et qui ne saurait pas reconnaitre le positif de ses employés. C’est dur de garder une motivation constante dans ce genre de situations. Le bien-être psychologique des employés est au final une condition importante au bon développement et surtout maintien de leur qualité de service.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative à l'une des questions posées précédemment ? Lors de mon emploi à l’Ordre des Avocats de Paris, le Directeur a reconnu mes qualités et a mis un point d’honneur à me les dire mais aussi me prévenir de mes erreurs afin d’améliorer ma prestation. Cela m’a poussé à m’investir et me remettre en question, à ne pas jamais me braquer et à mûrir quant à mon rôle à jouer.
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent à tout un chacun supprimera-t-elle à terme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Les nouvelles technologies aident l’assistant dans ses tâches, elles accélèrent celles-ci et permettent de consacrer du temps à d’autres.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Je suis un homme. et je n'ai pas de complexe effectivement à effectuer ce métier et encore moins à travailler pour une femme, la parité doit enfin être totale !
(Si vous êtes un homme) Les femmes voient elles d'un bon oeil le fait que vous occupiez cette fonction ? Cela a pu surprendre les femmes durant ma formation. Mais comme je le disais avant, pourquoi confier ces tâches à un sexe plutôt qu’un autre ? Nous devons évoluer et je pense que les femmes veulent elles-mêmes briser stéréotypes et carcans professionnels.
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ? Qui vivra verra.
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? C'est un progrès en termes de qualité de vie pour les salariés, mais à chaque entreprise son profil et ses besoins.
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? Le 35h peuvent l’être, mais tout dépend des périodes et des besoins, si le besoin se fait sentir de rester plus longtemps parfois, alors ce n’est pas grave, le résultat prime avant la durée. Chaque entreprise ou dirigeant a ses besoins, attentes et s’adapter aux circonstances dépasse ce genre de questionnements.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre à un parcours d'excellence ? Je pense que c’est possible, tout dépend du rayonnement de l’entreprise et de son champ d’activité. Néanmoins, je pense que les langues sont une richesse et dans mon cas un plaisir que je cherche à mettre à profit au quotidien. Nous sommes membres de l’Union européenne, apprendre les langues, c’est aller vers l’autre et en faire partie.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? On m’a souvent dit que c’était un synonyme. Je pense qu’un assistant va plus chercher à seconder, épauler et réfléchir à délester son patron alors que la secrétaire va simplement plus exécuter.
Pourriez vous nous proposer 5 questions pour l'interview du mois prochain et avez vous des suggestions à nous faire pour le progrès du site Assistante Experte ? Avez-vous d’autres activités vous semblant requérir des qualités propres à l’assistanat ? Le métier d’assistant a t-il un împact sur votre vie personnelle ? En voici deux.
