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Assistante
Nathalie P.
31190 Auterive
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Interview de Nathalie P.
Définissez vous en quelques mots... D'un tempérament enthousiaste, je reste discrète et àl'écoute des autres.J'aime les contacts humains en général, partager des valeurs, apprendre et évoluer. J'apprécie de travailler dans un contexte basé sur la confiance et le respect. Je veux faire partie d'une dynamique en donnant le meilleur de moi-même.Pour vous, qu'est ce qu'un(e) bon(ne) assistant(e) ? Une bonne assistante doit restée àl'écoute des autres pour répondre au mieux aux exigences du poste. Elle doit posséder des qualités relationnelles lui permettant de s'adapter àl'environnement. Organisée, méthodique, elle doit avoir une bonne expression orale et écrite et savoir utiliser les outils technologiques bureautiques. Sa dicrétion et ses capacités d'adaptation sont généralement appréciées.
Pour vous, qu'est ce qu'un bon patron ? Un bon patron est exigeant sur la qualité du travail rendu mais doit savoir aussi "entendre" les attentes de ses employés. Le respect et la souplesse sont généralement porteurs d'investissement personnel de la part des salariés. Un bon patron doit pouvoir montrer qu'il est satisfait du travail, apporter des critiques constructives pour permettre des améliorations. Un bon patron doit pouvoir accorder sa confiance et valoriser le travail des salariés compétents et sérieux.
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Quel est selon vous le cadre de travail idéal ?
Un cadre de travail idéal n'existe pas vraiment. Chacun a des attentes différentes, mais il s'avère quand même qu'une ambiance déchargée de stress, où chacun peut s'exprimer est porteuse d'implications de la part des salariés. Du matériel qui fonctionne, des locaux aux normes de sécurité et entretenus, la prise en compte de la vie personnelle et familiale des salariés pour leur permettre d'être plus sereins et donner un travail de meilleur qualité restent pour moi des conditions presque idéales !
Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Une mauvaise assistante ne s'implique pas dans ce qu'elle fait. Elle n'a pas conscience qu'elle donne une mauvaise image de l'entreprise et que cela peut être préjudiciable, surtout dans une société où la concurrence offre la possibilité "d'aller voir ailleurs". Elle ne respecte pas les exigences liées au poste. Elle peut "irriter" ses collègues, voire causer des tensions internes.
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? Un employeur qui ne possède pas de valeurs humaines (respect de la vie privée, compréhension des contraintes personnelles)et qui n'accorde pas sa confiance malgré une implication et une bonne volonté de son assistante.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ? Pour le bon fonctionnement d'un service, il est nécessaire qu'une bonne entente s'installe entre les collaborateurs. Cela implique un échange d'informations, du dialogue et non de la rétention d'informations, du travail personnel. La cohésion s'obtient par le partage des informations, l'esprit d'équipe, l'implication vers un même résultat. Dans une grande structure, une secrétaire "protégée" n'en faisait qu'àsa tête, oubliant de travailler et le fait de récupérer son travail, avec le minimum d'informations, pénélisait la qualité du travail, les résultats attendus. L'ambiance était stressante parce qu'il y avait deux attitudes de travail, incompatibles.
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Les nouvelles technologies ne doivent pas faire oublier que le contact humain et les échanges se font souvent par le biais de l'assistante. Elle reste importante àmes yeux, les missions de terrain n'étant pas toujours compatibles avec l'aspect "papier" des dossiers. Notre société est encore attachée àla traçabilité papier en complément de l'informatisation. L'assistante est làpour répondre àcette demande. Elle fait face àl'absence de ses dirigeants, qui doivent être disponibles pour l'aspect plus commercial de l'activité.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Non, comme la femme peut accéder àdes métiers dits masculins. Chacun peut s'accomplir dans ce métier : rigueur, organisation, polyvalence et contacts humains sont accessibles aux hommes.
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ? Il est difficile de savoir où l'être humain en sera en l'an 3000. Le progrès technonolique aura-t-il su respecter suffisamment notre environnement ? Il y a bien trop de questions sociologiques qui ne peuvent pas nous faire nous projeter aussi loin.
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? Cela n'est pas àmon avis une régression. Il faudrait cependant que cela reste un choix de la part du salarié. Travailler chez soi n'a pas le même impact socialement parlant. Les rapports directs peuvent être nécessaires àcertaines personnes. Le télétravail requiert une certaine rigueur dans le rythme de travail.
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? A 35 heures, tout reste possible avec une bonne organisation et quelques heures en plus parfois. En dessous de 35 heures, les retards peuvent s'accumuler, mais ils sont aussi créateurs d'emplois ponctuels. L'assistante reste quand même très sollicitée, et les horaires restent flexibles.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ? Certains secteurs d'activités ont l'exigence d'une, deux voire trois langues étrangères. La nouvelle génération d'assistante a valorisé cet aspect du poste. L'Anglais reste incontournable. Il faut àmon sens permettre aux secrétaires d'accéder àune formation linguistique.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? Aucune, bien qu'une assistante est davantage perçue comme une personne plus autonome, plus qualifiée.
Pourriez vous nous proposer 5 questions pour l'interview du mois prochain et avez vous des suggestions ànous faire pour le progrès du site Assistante Experte ? 1. Préférez-vous travailler dans une grande entreprise ou une entreprise dite plus familiale ? 2. Quelles sont vos prétentions salariales ? 3. Accepteriez-vous une mutation ? 4. Préférez-vous travailler avec des hommes ou des femmes ? 5. Acceptez-vous les critiques, savez-vous vous remettre en question ?
Réduire son Interview Pour vous, qu'est ce qu'un(e) mauvais(e) assistant(e) ? Une mauvaise assistante ne s'implique pas dans ce qu'elle fait. Elle n'a pas conscience qu'elle donne une mauvaise image de l'entreprise et que cela peut être préjudiciable, surtout dans une société où la concurrence offre la possibilité "d'aller voir ailleurs". Elle ne respecte pas les exigences liées au poste. Elle peut "irriter" ses collègues, voire causer des tensions internes.
Avec quel patron ne pourriez vous pas travailler ? Un employeur qui ne possède pas de valeurs humaines (respect de la vie privée, compréhension des contraintes personnelles)et qui n'accorde pas sa confiance malgré une implication et une bonne volonté de son assistante.
Pourriez vous nous faire part d'une expérience relative àl'une des questions posées précédemment ? Pour le bon fonctionnement d'un service, il est nécessaire qu'une bonne entente s'installe entre les collaborateurs. Cela implique un échange d'informations, du dialogue et non de la rétention d'informations, du travail personnel. La cohésion s'obtient par le partage des informations, l'esprit d'équipe, l'implication vers un même résultat. Dans une grande structure, une secrétaire "protégée" n'en faisait qu'àsa tête, oubliant de travailler et le fait de récupérer son travail, avec le minimum d'informations, pénélisait la qualité du travail, les résultats attendus. L'ambiance était stressante parce qu'il y avait deux attitudes de travail, incompatibles.
Selon vous l'avènement des nouvelles technologies et l'autonomie qu'elles confèrent àtout un chacun supprimera-t-elle àterme le rôle de l'assistante ou le renforcera-t-il ? Les nouvelles technologies ne doivent pas faire oublier que le contact humain et les échanges se font souvent par le biais de l'assistante. Elle reste importante àmes yeux, les missions de terrain n'étant pas toujours compatibles avec l'aspect "papier" des dossiers. Notre société est encore attachée àla traçabilité papier en complément de l'informatisation. L'assistante est làpour répondre àcette demande. Elle fait face àl'absence de ses dirigeants, qui doivent être disponibles pour l'aspect plus commercial de l'activité.
(Si vous êtes une femme) Les hommes entrent sans complexe dans ce métier : y voyez vous une concurrence ? Non, comme la femme peut accéder àdes métiers dits masculins. Chacun peut s'accomplir dans ce métier : rigueur, organisation, polyvalence et contacts humains sont accessibles aux hommes.
Pouvez vous faire le portrait de l'assistant(e) de l'an 3000 ? Il est difficile de savoir où l'être humain en sera en l'an 3000. Le progrès technonolique aura-t-il su respecter suffisamment notre environnement ? Il y a bien trop de questions sociologiques qui ne peuvent pas nous faire nous projeter aussi loin.
Le télétravail est il un progrès ou une régression ? Cela n'est pas àmon avis une régression. Il faudrait cependant que cela reste un choix de la part du salarié. Travailler chez soi n'a pas le même impact socialement parlant. Les rapports directs peuvent être nécessaires àcertaines personnes. Le télétravail requiert une certaine rigueur dans le rythme de travail.
Selon vous les 35 heures sont-elles réalistes pour l'assistant(e) ? A 35 heures, tout reste possible avec une bonne organisation et quelques heures en plus parfois. En dessous de 35 heures, les retards peuvent s'accumuler, mais ils sont aussi créateurs d'emplois ponctuels. L'assistante reste quand même très sollicitée, et les horaires restent flexibles.
Sans langue étrangère, un(e) assistant(e) peut-(elle)il aujourd'hui prétendre àun parcours d'excellence ? Certains secteurs d'activités ont l'exigence d'une, deux voire trois langues étrangères. La nouvelle génération d'assistante a valorisé cet aspect du poste. L'Anglais reste incontournable. Il faut àmon sens permettre aux secrétaires d'accéder àune formation linguistique.
Quelle différence faites vous entre un(e) assistant(e) et un(e) secrétaire ? Aucune, bien qu'une assistante est davantage perçue comme une personne plus autonome, plus qualifiée.
Pourriez vous nous proposer 5 questions pour l'interview du mois prochain et avez vous des suggestions ànous faire pour le progrès du site Assistante Experte ? 1. Préférez-vous travailler dans une grande entreprise ou une entreprise dite plus familiale ? 2. Quelles sont vos prétentions salariales ? 3. Accepteriez-vous une mutation ? 4. Préférez-vous travailler avec des hommes ou des femmes ? 5. Acceptez-vous les critiques, savez-vous vous remettre en question ?
Nathalie souhaite poursuivre sa présence sur Assistante-Experte afin de recevoir des propositions d'offres d'emploi par publipostage mais ne souhaite pas que son CV soit visible au grand public.
Vous pouvez néanmoins solliciter son CV en cliquant sur "Obtenir les coordonnées" et en complétant le formulaire de demande.
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